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L’hypertension artérielle grave ou de longue durée, non traitée, provoque parfois des symptômes, car elle peut endommager le cerveau, les yeux, le cœur et les reins. La pression artérielle diastolique est d’au moins 120 mm Hg, et une lésion progressive d’un ou de plusieurs organes vitaux est apparente (généralement le cerveau, le cœur et les reins), souvent accompagnée de divers symptômes. Si l’hypertension artérielle est liée à un phéochromocytome, les symptômes peuvent comprendre des céphalées graves, l’anxiété, la conscience d’un rythme cardiaque rapide ou irrégulier (palpitations), une transpiration excessive, des tremblements et une pâleur. Dans la plupart des cas, l’hypertension artérielle ne cause aucun symptôme, malgré l’apparition fortuite de certains symptômes largement, mais incorrectement, attribués à l’hypertension artérielle : céphalées, saignements du nez, étourdissements, rougeur faciale, et fatigue. Ces symptômes sont les céphalées, la fatigue, la nausée, les vomissements, l’essoufflement et l’agitation. Ces deux valeurs correspondent successivement à la tension systolique (ou systole) et à la tension diastolique (diastole).

Il existe ainsi deux classifications de l'hypertension artérielle : celle de l'Organisation mondiale de la santé et celle du Joint Committee VI nord américain. Même si votre santé physique ne s’est pas améliorée, vous dites ressentir une plus grande vitalité et force que par le passé. Pour augmenter la pression artérielle, le cœur peut pomper plus de sang en augmentant la force et la fréquence de ses contractions. Les raisons de tels changements ne sont pas bien comprises mais il semble qu’une anomalie héréditaire de la vasoconstriction des artérioles (qui permettent de contrôler la pression artérielle) soit impliquée. Un bruit cardiaque anormal, appelé quatrième bruit du cœur, est l’un des premiers changements provoqués par l’hypertension artérielle. Cependant, chez les patients vivant dans certains pays en voie de développement, ni la pression systolique ni la pression diastolique n’augmentent avec l’âge, et l’hypertension artérielle est presque inexistante ; cela est probablement dû au fait que la consommation de sodium est faible, et que le niveau d’activité physique est plus important. Celui-ci, en outre, s'observe parfois chez les femmes sous contraception orale.

Les personnes souffrant d’hypertension artérielle peuvent présenter ces symptômes, mais ils sont tout aussi fréquents chez les personnes dont la tension artérielle est normale. Les personnes dont les parois des vaisseaux sanguins sont épaissies et atteintes d’athérosclérose présentent un risque plus élevé d’accident vasculaire cérébral, de crise cardiaque, de démence vasculaire et d’insuffisance rénale. L’angiotensine II provoque la constriction des parois musculaires des petites artères (artérioles), augmentant ainsi la pression artérielle. Si votre pression artérielle est comprise entre 120/80 et 140/90, vous présentez un risque de développement ultérieur d'hypertension si aucune mesure n'est mise en œuvre pour la réguler. La méthode de référence est la mesure au brassard avec stéthoscope (contrepulsion). Le brassard est alors progressivement dégonflé. L’urgence hypertensive est une forme particulièrement grave de l’hypertension artérielle. Parmi les autres troubles rénaux à l’origine de l’hypertension artérielle, citons la sténose de l’artère rénale Obstruction des artères rénales (rétrécissement de l’artère alimentant l’un des reins), qui peut être due à l’ athérosclérose Athérosclérose , une infection rénale Infection des reins (pyélonéphrite), une glomérulonéphrite Glomérulonéphrite , des tumeurs rénales Cancer du rein , la maladie rénale polykystique Polykystose rénale (PKR) , des lésions rénales et une radiothérapie affectant un rein. Par exemple, la quantité de sang pompée par minute (débit cardiaque) et la résistance au flux sanguin peuvent augmenter en réponse à un rétrécissement des vaisseaux.

L'hypertension pulmonaire : elle est caractérisée par une tension élevée dans les artères des poumons. Ces valeurs sont uniquement indicatrices car, outre la variabilité de la pression artérielle, l’appréhension des patients vis-à-vis de l’examen ou de l’environnement médicalisé peut faire augmenter artificiellement leur tension (effet « blouse blanche »). Les personnes présentant une « hypertension de blouse blanche » semblent présenter un risque légèrement plus élevé de développer une hypertension artérielle permanente, mais elles n’ont probablement pas besoin de traitement, à moins que leur tension artérielle catapres https://medicament-hta.com ne soit très élevée pendant la visite médicale. De plus, l’ apnée du sommeil Apnée du sommeil peut contribuer ou aggraver une hypertension artérielle existante. La pression artérielle varie également dans la journée : Elle est la plus élevée le matin et la plus basse la nuit pendant le sommeil. Dans la circulation sanguine circule du sang à haute et basse pression. Lorsque la pression artérielle baisse (systolique, à 100 mm Hg ou moins), les reins libèrent une enzyme, la rénine, dans la circulation sanguine. La pression artérielle varie naturellement au cours de la vie d’une personne.

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